Un poème de Nahid SIRAJ
Traduit de l’anglais au français par Denis PERRIN,
(téléchargez la version originale)
…Et alors ce jour-là à la Bastille
Surgit le plus précieux des frissons
Provenant du plus profond du Rhin et de sa puissance
Avec “eine wundersame melodei”.
Bénis soient mes yeux,
Psyché pourrait être séduite
Comment pourriez -vous chérir ceci,
« Sans devenir cupide ? »
Et maintenant se tourner vers Dieu ? S’arroger la lyre d’Orphée ?
La musique peut-elle parler à l’oreille d’une sirène des temps nouveaux ?
“Ich weiß nicht’, mais ‘ich so traurig bin”.
Cortisol ? Ou Serotonin ? Que faut-il pour vaincre ?
Ma tête est envahie de paroles,
Mon coeur exilé,
Elle vient de ta terre, Heine !
Ce n’est pas seulement une œuvre d’art !
…