[DÉBAT] Pendant la deuxième journée du salon “Du livre des lanceurs et des lanceurs d’alerte” à la Maison des Métallos, une discussion intitulé “Tous Sous Surveillance” lance la conversation nécessaire concernant la surveillance d’information en france.
Où en sont les huit lanceurs d’alerte condamnés pendant la présidence d’Obama?
[LIBERTÉ D’INFORMER] Au cours des deux mandats d’Obama, huit lanceurs d’alerte ont été poursuivis en justice, un nombre supérieur à ceux punis par la loi sous toutes les administrations présidentielles des États-Unis réunies. Il est important de reconnaître que ces lanceurs d’alerte n’étaient pas en désaccord avec Obama, mais ont plutôt contesté l’inconduite sous l’administration Bush. Ceci dit, le ministère de la Justice sous Obama n’a pas arrêté les poursuites pénales en cours et en a même engagé.
Procès contre Trump: la liberté d’expression en danger ?
[LIBERTÉ D’EXPRESSION] PEN America accuse M. Trump de: « diriger ses menaces et ses représailles sur des médias spécifiques dont il considère le contenu et les points de vues, hostiles. En conséquence, les journalistes qui couvrent le président ou son administration croient de manière raisonnable qu’ils font face à une menace crédible de représailles du gouvernement.
Liberté d’informer : portraits de lanceurs d’alerte
Le Sedition Act, votée l’année suivante, a créé un amendement pour aussi punir certaines formes de discours, y compris les publications de «tout langage infidèle, profane, calomnieux ou abusif concernant le gouvernement américain, la Constitution, l’armée ou les forces navales. »
Bombes visant les démocrates: quelle est la responsabilité de Trump?
[ETATS-UNIS] En réaction, Trump déclare que « Dans ces moments nous devons nous unifier » à travers la « paix et l’harmonie. » Mais sa rancoeur pour ce qu’il appelle « Fake News » ressort aussitôt en déclarant que « les médias ont également la responsabilité (…) de mettre fin à l’hostilité continue et aux attaques négatives constantes et souvent fausses. »