[CROWNFUNDING] La diversité des profils des personnes qui formeront la rédaction est l’une des nombreuses plus-values de ce journal en ligne. Il a pour ambition de faire travailler de jeunes journalistes français et des journalistes en exil sur des projets de reportages communs.
Informer dans le monde arabe, à quel prix ? – Débat à l’Institut du Monde Arabe
[DÉBAT] La liberté a un prix, il faut le payer. Si on ne se bat pas, on n’obtient rien. Moi j’ai choisi de combattre et j’en paie le prix. Même en Occident c’est comme ça. Il faut se battre et c’est le choix que j’ai fait. Au Maroc, il y a une censure différente qu’en France, car en France, quand les médias sont contrôlés par quelques personnes qui ont des intérêts économiques, il y a aussi une censure. Pas de démocratie sans la liberté d’information. Pas de liberté d’information sans démocratie.
#marenostrum : l’art comme résistance
[EXPOSITION] Le mardi 16 octobre à partir de 18 heures, la MDJ vous invite au vernissage de l’exposition #marenostrum d’Haude Bernabé à l’église Sainte Merry, avec le soutien de La Fondation Villa Seurat pour l’Art Contemporain dans le cadre de Voir et Dire. Cette exposition aura lieu jusqu’au 16 novembre, elle est gratuite et ouverte à tous. Pour mieux comprendre les sens de l’exposition, la Maison des journalistes est allé à la rencontre de sa créatrice, Haude Bernabé.
« No sucumbio la éternidad » – Daniela Rea signe un documentaire poignant
[LIBERTÉ D’INFORMER] Journaliste d’investigation au Mexique, Daniela Rea s’est récemment rendue à la Maison des journalistes. Elle y a rencontré plusieurs de ses collègues exilés qui y sont hébergés. Daniela Rea est la première lauréate du prix mexicain Bleach –Valdez, prix récompensant des journalistes pour la qualité de leurs enquêtes dans le domaine des Droits de l’Homme.
Syrie – Liberté d’information : Peut-on s’informer sur la situation ?
[GUERRE ET JOURNALISME] Responsable de la rubrique Syrie à Libération, d’origine syrienne, Hala Kodmani est bien placée pour décrire l’évolution de la profession journalistique dans ce pays. Née à Damas en 1956, elle quitte la Syrie à l’âge d’un an et y revient à six reprises en tant que journaliste entre 2011 et 2015.
La Maison des journalistes à la Radio Libertaire
[ENTRETIENS] A l’occasion d’une émission de 2 heures en direct sur Radio Libertaire 89.4, la Maison des journalistes a pu mieux se faire connaître des auditeurs de cette fréquence francilienne historique. Deux journalistes ex-résidents de la Maison des journalistes, étaient donc récemment présents à l’antenne pour témoigner de leurs parcours d’exil et de leurs trajectoires professionnelles depuis leur arrivée en France. Il s’agit de Béatrice Cyuzuzu et Mortaza Behboudi, journalistes exilés du Rwanda et d’Afghanistan.
L’attente est une prison
Beraat est un journaliste turc en exil, menacé de représailles dans son pays d’origine. Il est en France depuis un an et demi. Hébergé à la Maison des Journalistes – MDJ – il nous raconte l’attente : du sentiment d’être prisonnier et de se battre pour s’en sortir.