Etudiants arrêtés par le régime iranien Au bout de 26 jours de détention, l’appareil judiciaire en Iran a reconnu l’arrestation de deux étudiants d’élite de …

L'œil de la Maison des journalistes
Liberté d'informer & Accès à l'information
Massoumeh Raouf est iranienne, ancienne prisonnière politique du régime des mollahs.
En 1988, son frère de 16 ans est exécuté lors du massacre des 30.000 prisonniers politiques iraniens. Pour lui rendre hommage, Massoumeh Raouf a écrit la bande-dessinée "Un petit prince au pays des mollahs".
Engagée dans la «Campagne du mouvement pour la justice en faveur des victimes du massacre de 1988», Massoumeh Raouf se bat aujourd'hui pour faire traduire en justice les auteurs de ce «crime contre l'humanité resté impuni».
Comme pour tous les journalistes réfugiés politiques, l'Oeil de la Maison des journalistes garantit une Tribune Libre de liberté d'expression.
Etudiants arrêtés par le régime iranien Au bout de 26 jours de détention, l’appareil judiciaire en Iran a reconnu l’arrestation de deux étudiants d’élite de …
La nomination du général des pasdaran Mohammad Baqer Qalibaf à la tête du pouvoir législatif iranien est une nouvelle étape vers une plus grande fermeture …
Selon les estimations du « Comité national du coronavirus » en Iran: si nous n’appliquons pas la quarantaine, à la fin du mois de mai, 700.000 personnes …
L’Histoire écrite par les hommes passe sous silence les luttes menées par la Femme durant les 150 dernières années en Iran. Les témoignages qui permettent …
Les rumeurs liés au coronavirus sont durement pénalisées par le régime. L’Iran est au bord d’une des plus grandes catastrophes humanitaires de son histoire contemporaine. Mensonge et dissimulation du régime ont provoqué la propagation du coronavirus dans le pays. Des experts internationaux s’interrogent sur l’étendue réelle de l’épidémie de coronavirus en Iran.
Selon des chiffres non officiels publiés par l’agence Fars, 1,9 million de personnes avaient voté à Téhéran sur les plus de 9 millions d’électeurs que compte la capitale, donc beaucoup de votants semblent avoir boycotté le scrutin.
Les luttes intestines en cours entre les deux principales factions du régime ne découlent pas de deux écoles de pensée différentes ni d’aucune véritable velléité de réforme. Elles relèvent plutôt d’une aggravation de la crise et l’incapacité du régime à contenir ses crises multiples, encore moins à les résoudre