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RD Congo : le génie est sorti de la bouteille

[ÉLÉCTIONS PRÉSIDENTIELLES] Le titre est affirmatif. Or, par prudence, l’emploi du conditionnel ou de la forme interrogative aurait été plus convenable. On n’en a cure. L’organisation des élections en cours constitue la fin d’un « cycle », dont la suite présente une inconnue redoutée par tous les observateurs. Mais quelle est cette inconnue, sinon une guerre civile, avec pour conséquence la partition du pays ?

Qui a peur des élections… en République Démocratique du Congo ?

[ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE] »C’est pourquoi on empêche ce Fayulu-là de parler, à travers son porte-voix ? On a peur de lui ou quoi ? », m’a demandé mon petit-fils, âgé de 7 ans, en regardant la télévision. Devant mon silence, il a pris l’initiative de répondre lui-même à sa question : « C’est Kabila qui a donc peur… ». Vérité limpide d’enfant !

RD Congo : le réel et la fin du flou artistique en politique à quelques jours des élections

[ELECTIONS PRESIDENTIELLES] A mesure qu’on avance vers la date fatidique du 23 décembre, le ciel se décante. Le réel prend le pas sur le flou. Un flou artistique, qui cache la réalité sans la supprimer. En un mot, le mensonge. La déclaration publique du président Kabila, dimanche 9 décembre à plusieurs médias américains, de vouloir se représenter à la présidentielle de 2023, ajoute à la clarification.

Il y a 28 ans, jour de fête nationale, commençait le génocide mauritanien

[CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ] 28 ans après l’indépendance qui divise encore la Mauritanie, des veuves et des orphelins sont descendus dans la rue pour commémorer les pendaisons des militaires noirs d’Inal, les 27 et 28 novembre 1990. Cette manifestation a été réprimée par les forces de police. Le communiqué ci-dessous des victimes montrent l’unité nationale encore loin car victime de son passé non résolu. L’Etat a reconnu sa responsabilité dans ces crimes mais peine à donner des droits aux victimes.

République Démocratique du Congo : une opposition versatile

[POLITIQUE] L’accord signé, dimanche 11 novembre à Genève, par sept membres de l’opposition congolaise, n’a pas résisté aux sirènes de l’ego. Il visait à désigner un candidat commun, en vue d’affronter le camp du président sortant Kabila aux prochaines élections, le 23 décembre prochain. Aussitôt signé aussitôt désavoué par deux d’entre eux. En moins de de 24 heures.