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Etat de la presse en Algérie : le témoignage de l’écrivain Boualem Sansal

[MEDIA] « En tant qu’intellectuel, je me sens le devoir de ne pas abandonner mon pays. L’Algérie a besoin de voix dissidante et d’intellectuels qui n’ont pas peur de dénoncer le manque de liberté de la presse dans le pays ». Il ne fait pas bon être journaliste en Algérie. Surtout si on critique le gouvernement. Ces dernières années, des centaines de journalistes algériens ont été emprisonnés à cause de leurs articles dans lesquels, d’une manière ou d’une autre, ils dénoncent le gouvernement dictatorial de Bouteflika.

« Un jour, peut être, je reverrai la mer d’Ismir » – Portrait de Lalbi, journaliste turc exilé

[TÉMOIGNAGE] « Si je n’avais pas téléphoné à ma mère ce jour-là, aujourd’hui je serais probablement en prison. A présent je ne peux pas rentrer en Turquie, la police m’appréhenderait à l’aéroport : c’est le prix que je paye pour avoir partagé mes caricatures sur Internet ». « Le coup d’Etat de juin 2016 ? Cela n’a été qu’une mise en scène. Le Président Erdogan veut détruire la démocratie en Turquie, effacer Atatürk de la mémoire collective et devenir le chef de la communauté musulmane au Moyen-Orient. La révolte n’était qu’un prétexte pour renforcer son pouvoir ».

Le combat sans fin des journalistes syriens : l’histoire de Fatten, mère en deuil et journaliste en révolte

[JOURNALISTE DE LA MDJ] « J’ai été contactée par les islamistes de Daech : Ils m’ont dit qu’ils avaient mon fis, Abboud, et que si j’avais envoyé de l’argent, ils l’auraient peut être libéré, si non ils le tueront. » Le combat sans fin des journalistes syriens : l’histoire de Fatten, une mère qui a perdu son enfant, une journaliste en révolte pour les droits de la femme au Moyen-Orient.

La Coupe de cette «équipe belle et unie»

[TRIBUNE LIBRE] Dans la masse de la littérature dédiée au parcours victorieux de l’équipe de France, que n’avons-nous pas lu ? Dans le flot des paroles dites, à cet effet, à travers la télévision et la radio, que n’avons-nous pas entendu ? Nous avons lu et entendu l’éloge faite, sur une liste non exhaustive, aux qualités et vertus exprimées par l’ensemble de cette jeune équipe conquérante. Une «équipe belle et unie», selon le président de la République, Emmanuel Macron.

Le tabou républicain de la petite muette : violence des surveillants sur les prisonniers

[LIBERTÉ D’INFORMER] Laurence Delleur est journaliste et documentariste. Elle a notamment travaillé plusieurs années sur la violence des surveillants de pénitencier envers les prisonniers. Laurence Delleur a décidé de développer ce sujet dans un documentaire «Matons violents, la loi du silence» qui a été diffusé sur France 5 le dimanche 11 juin 2018 à 22h30. L’occasion pour nous de revenir sur la genèse du projet et des difficultés rencontrées pour développer un sujet si délicat, dans un lieu si tabou.

« Aujourd’hui notre retour est conditionné par la chute du régime et le changement de système politique en place »

[Journaliste de la MDJ] Alzitani Hani fait partie des nombreux syriens qui ont rejoint la promotion 2017 de la Maison des journalistes. Après avoir obtenu son statut de réfugié politique, il aspire à s’installer ici et démarrer une nouvelle vie en attendant, peut-être, que le régime de Bachar el Assad s’effondre.

Le Président d’urgence

[TRIBUNE LIBRE] L’Etat d’urgence qui dure depuis 2 ans va finir le 18 juillet si le Président Erdogan ne le prolonge pas. Même si l’Etat d’urgence disparaît de la Turquie, avec le nouveau pouvoir octroyé par son nouveau Président, la Turquie a un “Président d’urgence” ce qui est devenu une situation normale. Le Président de cette « Nouvelle Turquie » Recep Tayyip Erdogan a juré sur la Constitution puis est officiellement devenu « l’hyper président » de son pays.