Journaliste depuis 20 ans, Karzan, 42 ans, est né au Kurdistan Irakien, région autonome rattachée à l’Irak. Pour s’être intéressé de trop près au clan …
Moyen et Proche Orient
Ahmad Muaddamani, journaliste syrien exilé: « Les Misérables » me rappelle ma situation
“Je suis Ahmad Muaddamani, je viens de Syrie. J’habite maintenant à Paris. En Syrie, j’ai travaillé en tant que photographe et designer graphique dans la ville qui s’appelle Daraya.” C’est par ces mots que le jeune journaliste de 28 ans se présente, en français, qu’il a appris en six mois seulement.
ISRAËL – Le logiciel espion de NSO Group traque les journalistes en toute impunité
Des centaines de journalistes à travers le monde surveillés par leurs téléphones, des liens obscurs avec les meurtres des journalistes Jamal Khashoggi et Javier Valdez, …
Les morts peuvent-ils migrer et demander l’asile ?
Les services d’asile occidentaux interrogent les arrivants sur les menaces qui les poussent à quitter leurs pays d’origine en quête d’une nouvelle vie. Le demandeur d’asile a toujours deux histoires, une qu’il présente aux services de l’immigration et une autre qu’il ne peut révéler et qu’il garde pour lui. C’est une question complexe et épineuse que l’écrivain et cinéaste irakien Hassan Blasim résume bien dans son recueil de nouvelles Cadavre Expo (Seuil, 2017).
RENCONTRE. Ignace Dalle, le récit de carrière d’un véteran de l’AFP
Journaliste spécialiste du monde arabe. Diplômé de l’École supérieure de journalisme de Lille et en études arabes à l’université Saint Joseph de Beyrouth, Ignace Dalle …
PORTRAIT. Avec Anas, photojournaliste syrien, «dans sa maison»
“Je suis Anas Mohamed Ali. Syrien, vivant en France depuis avril 2019, je viens de la Ghouta orientale près de Damas et j’ai 27 ans.” C’est ainsi, sur un ton mesuré, que se présente Anas. Ce qui frappe à la première rencontre avec lui, c’est le calme de son expression verbale, la douceur de ses gestes et la sérénité dans son regard, tout cela contraste avec la rudesse de son récit.
IRAN. Élection présidentielle : Aggravation de la crise hégémonique et du contrôle politique
A quelques jours des élections présidentielles prévues en Iran le 18 juin, le Conseil des gardiens de la Constitution (un organe non élu opérant sous les auspices de Khamenei chef suprême du régime) a évincé, le 25 mai, tous les candidats rivaux crédibles d’Ebrahim Raïssi, candidat favori de Khamenei.