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Le combat sans fin des journalistes syriens : l’histoire de Fatten, mère en deuil et journaliste en révolte

[JOURNALISTE DE LA MDJ] « J’ai été contactée par les islamistes de Daech : Ils m’ont dit qu’ils avaient mon fis, Abboud, et que si j’avais envoyé de l’argent, ils l’auraient peut être libéré, si non ils le tueront. » Le combat sans fin des journalistes syriens : l’histoire de Fatten, une mère qui a perdu son enfant, une journaliste en révolte pour les droits de la femme au Moyen-Orient.

La Coupe de cette «équipe belle et unie»

[TRIBUNE LIBRE] Dans la masse de la littérature dédiée au parcours victorieux de l’équipe de France, que n’avons-nous pas lu ? Dans le flot des paroles dites, à cet effet, à travers la télévision et la radio, que n’avons-nous pas entendu ? Nous avons lu et entendu l’éloge faite, sur une liste non exhaustive, aux qualités et vertus exprimées par l’ensemble de cette jeune équipe conquérante. Une «équipe belle et unie», selon le président de la République, Emmanuel Macron.

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Les idées simples c’est compliqué !

[TRIBUNE LIBRE] En France, un montagnard qui aidait des âmes errantes à trouver la bonne route, et le sens de la vie, a été inquiété par quelques esprits dont les lumières étaient en panne. C’était tellement absurde que le Conseil Constitutionnel a fini par prendre le parti de l’honorable homme des sommets. Moi, Yuan Meng, exilé et mangeur de bambou, j’en ris encore.

En Mauritanie, Aziz berne le monde : la lutte contre le terrorisme excuse tout !

[TERRORISME] Le Président Aziz comme ses paires a demandé une importante aide financière pour maintenir les soldats dans ces zones à très fortes tensions. La communauté internationale est sous l’influence du Président de la Mauritanie puisque le monde est en guerre contre le terrorisme, ce qui excuse les formes d’autoritarisme que le pouvoir exerce.

Les confessions du braqueur Rédoine Faid évadé de prison

[PORTRAIT] La réussite de sa cavale, il la doit en partie aux flics de la BRB qui, à son avis, décident carrément d’être aveugle en sous-estimant les mecs de la Cité. “S’ils avaient mis en place une petite surveillance, ils auraient pu m’attraper. Pour eux, le voyou ne peut-être qu’un gaulois, passer par la centrale. Cela ne peut pas être le Rédoine de Creil. Cet algérien de banlieue de merde. A leurs yeux, on est de la racaille”.