Jusqu’en 2002, la condition posée par l’Iran pour accepter une intervention américaine en Irak et le renversement du régime de Saddam Hussein a été d’accorder …
Tribune Libre
IRAK-IRAN. Les illusions de la levée du blocus et de l’accord sur le nucléaire (1/3)
Lors d’une session de dialogue sur la situation irakienne, un Français m’a posé une question sur les efforts du président américain Joe Biden pour rétablir …
« Irak, destruction d’une nation », un autre documentaire à vision orientaliste?
France 5 a diffusé sa série documentaire « Irak, destruction d’une nation», réalisée par le journaliste Jean-Pierre Canet. En quatre parties, le documentaire aborde l’histoire …
Haïti. L’enjeu de la presse à travers le photojournalisme
Parti en reportage le 14 mars 2018, le photojournaliste indépendant Vladjimir Legagneur n’est jamais revenu. L’anniversaire des 3 ans de sa disparition, le collectif “50 milimèt” lui a rendu hommage.
Les islamistes, une marque déposée en Algérie
Confronté à une opposition inédite, qui menace de l’emporter, le pouvoir algérien est en train d’engager en ce moment la bataille de l’image et de la mémoire autour de la guerre civile des années 1990.
Lorsque des irakiens demandent au Pape de revenir en Irak
Jeunes élèves en primaire, nous avons vécu plusieurs visites d’inspection de la part de superviseurs pédagogiques venus du ministère de l’Éducation. Au moins une semaine avant chacune de ces visites, l’administration de l’école se mettait (enfin) au travail : réparations, nettoyages, peintures, décoration, etc. Administration, enseignants et élèves, tout le monde participait à ces chantiers. L’essentiel est que l’école apparaisse le “jour J” en bon état aux yeux du ministère; l’administration de l’école ne se souciant guère de ses élèves ni de ses enseignants.
Algérie. Des présidents agonisants
L’autre jour, en flânant dans Paris, je suis tombé sur un SDF absorbé par la lecture d’un livre. Oui, cela se remarque, à Paris, la culture s’est démocratisée, elle n’est plus l’apanage des seuls clercs. Elle irrigue jusqu’aux petites gens, parmi les plus démunies et les plus délaissées. La posture du SDF qui lit, buste incliné, presque couché sur un banc public, suggérait qu’il tenait entre les mains un de ces bouquins à l’eau de rose, un Harlequin, peut-être. J’engage la conversation avec lui. Eh bien, je n’en reviens pas lorsqu’il me montra la première de couverture : Les lois fondamentales de la stupidité humaine, de l’auteur italien Carlo Maria Cipolla.