Meiirbek est né en Chine mais a émigré, dès ses 22 ans, au Kazakhstan. Là-bas, il était ingénieur dans une entreprise pétrolière. Rien ne le destinait vraiment à devenir journaliste activiste pour les droits humains. En 2018, plusieurs de ses proches disparaissent. Très vite, il comprend que ces derniers ont été emmenés dans des camps de concentration chinois.