Ce lundi 13 février 2023, la MDJ a accueilli l’Initiative Marianne au sein de ces murs, à l’occasion d’une table ronde. Les 12 lauréats 2023 ont ainsi pu rencontrer les journalistes de la MDJ pendant trois heures, afin d’échanger expériences et perspectives.
liberté d’expression
La Maison des journalistes aux côtés de l’Institut Européen Ouïghour
La MDJ a accueilli la conférence de presse contre le génocide ouïghour avec Dilnur Reyhan, Raphaël Glucksmann, Yannick Jadot et Valérie Rabault.
Hong Kong: comprendre la crise par la liberté de sa presse
Alors que la Chine est classée 177 sur 180 dans le classement de la liberté de la presse de Reporters sans Frontière (RSF), la presse …
Ingérence et attaque marocaine en plein Paris : des militants et des journalistes menacés
[LIBERTÉ D’INFORMER] La Maison des journalistes a pu interviewé l’un des intervenants de cette conférence, le journaliste Hicham Mansouri. Exilé en France, attaqué et diffamé au Maroc par des procès sans cesse reportés, hébergés il y a quelques années par la Maison des journalistes, Hicham a accepté de nous raconter ce qu’il s’est passé.
Les censures politiques de Facebook
{CENSURE] Un mois avant les élections de mi-mandat aux États-Unis, la plate-forme sociale a supprimé plus de 800 pages et comptes, affirmant qu’ils affichaient systématiquement «du spam et un comportement inauthentique». Les 559 pages et 251 comptes à orientation politique étaient tous américains. Nation In Distress, Right Wings News, Reasonable People Unite et The Resistance sont quelques une des pages bloquées.
Procès contre Trump: la liberté d’expression en danger ?
[LIBERTÉ D’EXPRESSION] PEN America accuse M. Trump de: « diriger ses menaces et ses représailles sur des médias spécifiques dont il considère le contenu et les points de vues, hostiles. En conséquence, les journalistes qui couvrent le président ou son administration croient de manière raisonnable qu’ils font face à une menace crédible de représailles du gouvernement.
Etat de la presse en Algérie : le témoignage de l’écrivain Boualem Sansal
[MEDIA] « En tant qu’intellectuel, je me sens le devoir de ne pas abandonner mon pays. L’Algérie a besoin de voix dissidante et d’intellectuels qui n’ont pas peur de dénoncer le manque de liberté de la presse dans le pays ». Il ne fait pas bon être journaliste en Algérie. Surtout si on critique le gouvernement. Ces dernières années, des centaines de journalistes algériens ont été emprisonnés à cause de leurs articles dans lesquels, d’une manière ou d’une autre, ils dénoncent le gouvernement dictatorial de Bouteflika.