Depuis le début de l’année, deux reporters de guerre japonais, Jumpei Yasuda et Kosuke Tsuneoka, se voient refuser leurs sorties de territoire et leurs passeports …
liberté d’informer
Liberté de la presse au Cameroun, entre « fake news » et antiterrorisme
Classé 131 place sur 180 au classement mondial de la liberté de la presse, la liberté de l’information au Cameroun ne va pas en s’améliorant. …
Ingérence et attaque marocaine en plein Paris : des militants et des journalistes menacés
[LIBERTÉ D’INFORMER] La Maison des journalistes a pu interviewé l’un des intervenants de cette conférence, le journaliste Hicham Mansouri. Exilé en France, attaqué et diffamé au Maroc par des procès sans cesse reportés, hébergés il y a quelques années par la Maison des journalistes, Hicham a accepté de nous raconter ce qu’il s’est passé.
Où en sont les huit lanceurs d’alerte condamnés pendant la présidence d’Obama?
[LIBERTÉ D’INFORMER] Au cours des deux mandats d’Obama, huit lanceurs d’alerte ont été poursuivis en justice, un nombre supérieur à ceux punis par la loi sous toutes les administrations présidentielles des États-Unis réunies. Il est important de reconnaître que ces lanceurs d’alerte n’étaient pas en désaccord avec Obama, mais ont plutôt contesté l’inconduite sous l’administration Bush. Ceci dit, le ministère de la Justice sous Obama n’a pas arrêté les poursuites pénales en cours et en a même engagé.
Des journalistes turcs oubliés dans les prisons d’Erdogan crient à l’aide !
[LIBERTÉ D’INFORMER] « Nous sommes des journalistes oubliés dans la prison de Silivri », ont déclaré 19 journalistes turcs dans une lettre publiée sur Internet la semaine dernière. Détenus depuis plus de deux ans, les 19 journalistes ont déclaré : «Nous qui n’avons pas d’autre métier que le journalisme, nous disons que nous ne voulons pas être oubliés et que nous attendons que justice soit rendue».
“Un bon journaliste est quelqu’un qui sert la communauté » – Témoignage d’un journaliste mauritanien
[JOURNALISME EN MAURITANIE] « Il y a en moi un sens inné de la justice. Ce qui me fait le plus peur, ce n’est pas la mort, ni la douleur, mais de voir l’état de pauvreté de quelqu’un sans pouvoir rien faire pour l’aider. La justice est universelle, elle n’a pas de couleur de peau, d’ethnie ou de religion ».
Etat de la presse en Algérie : le témoignage de l’écrivain Boualem Sansal
[MEDIA] « En tant qu’intellectuel, je me sens le devoir de ne pas abandonner mon pays. L’Algérie a besoin de voix dissidante et d’intellectuels qui n’ont pas peur de dénoncer le manque de liberté de la presse dans le pays ». Il ne fait pas bon être journaliste en Algérie. Surtout si on critique le gouvernement. Ces dernières années, des centaines de journalistes algériens ont été emprisonnés à cause de leurs articles dans lesquels, d’une manière ou d’une autre, ils dénoncent le gouvernement dictatorial de Bouteflika.