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Tous les moyens sont bons, même le chocolat !

[Tribune Libre] la branche dominante du règne animal – l’Homme – s’amuse de ma condition et me transforme en friandise. Dois-je m’en offusquer ? Si mon clan est constitué d’amateurs de bambou, comme vous le savez, celui du genre humain, pour sûr, a plutôt porté son choix sur le chocolat. Ainsi, à l’occasion des fêtes de Pâques, on a vu (m’assure-t-on) circuler des pandas… en chocolat, ici et là dans des boutiques spécialisées.

Au printemps, faisons le bilan !

[Billet du panda] On me dit que, parfois, il ne faut pas hésiter à procéder à un dépôt de bilan pour mieux redémarrer ensuite. En attendant son éventuel dépôt, faisons donc ensemble le bilan du monde. Le mangeur de bambou que je suis a beau être en résidence dans un zoo, en France, il n’en est pas moins attentif aux bruissements de la planète… et probablement avec une plus grande acuité qu’un citoyen banal.

La carotte est-elle un moyen d’intégration ?

[Billet du panda] Moi, Yuan Meng, panda réfugié en France au zoo de Beauval, qu’apprends-je ? Que certains de mes semblables ne se contentent pas de bambou pour leurs repas MAIS qu’ils se sont AUSSI mis à consommer des carottes. Un bel exemple d’intégration… mais bon, faut y arriver… ! Je ne sais pas si c’est le cas ailleurs mais toujours est-il que je découvre donc que plusieurs de mes congénères, vivant hors de Chine, mangent… des carottes…

Le goût du bambou est-il le même partout ?

[Billet du panda] Moi jeune panda réfugié en France, fils de réfugiés et mangeur de bambou, la question que l’on me pose souvent est de savoir ce que je fais ici au lieu de retourner dans mon pays…. C’est fatigant mais je veux bien encore m’expliquer. Parmi celles et ceux qui me rendent visite en mon abri du zoo de Beauval, il y en a qui estiment que je suis là parce que le contenu de ma gamelle serait plus …

Fais le ménage dans ta chambre !

[Billet d’humeur] En tant que panda exilé en France, j’ai des trucs à dire sur ce que je vois. Tout panda que je suis, je ne me contente pas de mâcher mon bambou et de laisser aller. Ben, non ! Maintenant c’est de mon avenir qu’il faudrait causer. Je l’ai encore indiqué l’autre jour à un élu de la Nation qui est venu me rendre visite : « Faudrait songer à réfléchir à mon avenir tout même. Je ne vais pas rester là jusqu’à ce que mort s’ensuive… et puis ça ne me dit rien d’être un jour renvoyé en Chine, de toute façon ».